Les protocoles de caractérisation des sables à prise chimique

Sable de fonderie

Sable de fonderie - observation de la morphologie des grains au MEB

En fonderie de moulage sable à prise chimique, il est coutume de dire qu’ « un bon sable permet de fabriquer de bonnes pièces ». Parmi l’ensemble des facteurs qui conduisent à la réalisation d’une pièce conforme à un CDC (Cahier Des Charges), le sable est de toute première importance. Il permet en effet d’obtenir la qualité de peau de pièce (rugosité satisfaisante, absence de problèmes d’abreuvage, de gerces, …) et le bon dimensionnel (tenue mécanique du sable à la coulée, ..), mais aussi contribue à la santé interne de la matière (évacuation des gaz). Le sable, utilisé comme matière première pour fabriquer le moule (formes externes) et les noyaux (formes internes), est contrôlé grâce à des protocoles de caractérisations standardisés. Ces protocoles couvrent autant les caractérisations physiques, mécaniques et chimiques des sables neufs que des sables recyclés.

Essai de flexion 3 points pour la détermination des caractéristiques mécaniques

Résistance à la flexion d’un sable à prise chimique

Résistance à la flexion d’un sable à prise chimique – machine de flexion 3 points – CTIF

Cet essai consiste à suivre l’évolution, au cours du temps, de la résistance à la flexion d’un sable à prise chimique.

Le temps de conservation des éprouvettes (avant essai mécanique) est croissant, de 3 min à 24 h. Il permet ainsi de déterminer l’évolution des caractéristiques mécaniques des noyaux lors d’un stockage avant utilisation. Cet essai permet de prévoir la durée de stockage maximum n’altérant pas la qualité des noyaux et leurs résistances (risques de ruptures sous la pression du métal liquide, désagrégation de parties de noyaux au contact du métal, …).

 

Evolution des caractéristiques mécaniques du sable de fonderie

Evolution des caractéristiques mécaniques du sable de fonderie

On peut ainsi visualiser l’évolution croissante de la résistance à la flexion en fonction du temps de noyaux fabriqués à partir de sable LA32 et de sables différents (échantillons A et B) neufs.
Dans la pratique, il apparait qu’un compromis doit être trouvé : un noyau trop rigide va présenter une trop grande fragilité (risque de casse) ou être trop résistant par rapport au retrait du métal, et à contrario un noyau trop malléable risque de trop se déformer (hors tolérances dimensionnelles, …). On peut également caractériser le phénomène de reprise d’humidité à partir de cet essai. La reprise d’humidité fragilise et altère les caractéristiques mécaniques des noyaux de manière imprévisible.

Essai de durée de vie – détermination du temps de travail du sable

Durée de vie – sable LA32

L’essai de durée de vie consiste à déterminer le temps de stockage maximum du sable à prise chimique préparé avant le tir, permettant d’obtenir des caractéristiques mécaniques souhaitées. De façon plus précise, il permet de préciser le temps de travail opérateur disponible pour réaliser des noyaux avec des caractéristiques mécaniques convenables.
Ce temps est déterminé à partir des résistances à la flexion mesurées sur une série d’éprouvettes confectionnées après des temps de stockage croissant du sable préparé, de 3 min à 24h. Nous pouvons constater que les caractéristiques mécaniques des échantillons préparés à partir de sable LA32 neuf décroissent avec le temps.
En première approche, moins le sable est stocké longtemps dans la trémie et plus les noyaux auront de bonnes propriétés mécaniques. De la même façon qu’à partir de l’essai de flexion 3 points, on peut mesurer le phénomène de reprise d’humidité à partir de cet essai.

Détermination de la granulométrie et de l’indice de finesse

Série de tamis pour analyse de la granulométrie

Série de tamis pour analyse de la granulométrie d’un sable de fonderie

La granulométrie d’un sable neuf correspond à la répartition des grains, en pour-cent, selon des classes conventionnelles de dimensions. Pour caractériser la granulométrie, on utilise la notion d’ « indice de finesse » : nombre entier correspondant à un numéro de tamis fictif ayant une ouverture de maille correspondant à 50% de la courbe de distribution cumulative des refus.

La taille de la particule est déterminée par sa capacité à passer ou non par l’ouverture des mailles d’une toile métallique. Cela correspond au plus petit diamètre de la particule (en faisant abstraction de l’angularité des grains). Nous pouvons observer la répartition des grains (refus %) par tamis caractérisés par l’ouverture de mailles.

Histogramme des refus pour 3 types de sable (LA32 en bleu)

Histogramme des refus pour 3 types de sable (LA32 en bleu)

La granulométrie d’un sable est aussi importante que la nature du sable elle-même (silice, zircon, olivine, kerphalite, chromite, …). En effet, en fonction des procédés, on choisira des granulométries différentes. En outre, la granulométrie a un impact sur l’état de surface des pièces. La notion de granulométrie est à relier à la teneur en particules de moins de 20 µm que l’on cherche à caractériser par la teneur en argile et en particules de dimensions inférieures à 20 µm, présentes dans les sables siliceux neufs, par application de la loi de Stokes. Cette détermination est très importante dans les procédés de sable à prise chimique, car ces particules fines provoquent une plus grande consommation de liant et une diminution de la perméabilité aux gaz et de la réfractarité (augmentation de la surface spécifique).

Détermination de la demande acide d’un sable à prise chimique

La demande acide consiste à mettre en contact du sable à prise chimique avec un volume connu d’acide chlorhydrique 0,1 N, puis l’acide n’ayant pas réagi avec le sable est titré par de la soude 0, 1 N (dosage en retour). Les résultats s’expriment sur 50 g de sable en ml d’HCl 0,1 N consommé pour atteindre des pH de 3, 5 ou 7 (DA3, DA5, DA7). On détermine, par cette méthode, la quantité d’acide chlorhydrique nécessaire à la neutralisation des différents composés alcalins contenus dans les sables neufs.

Détermination de la perte au feu

On cherche à caractériser la perte de masse d’un échantillon après calcination à 900 °C, sous atmosphère inerte (argon, azote, …) ou non en fonction de la nature du sable. Le sable est calciné à cette température élevée de manière à décomposer tous les éléments combustibles. La différence de masse entre l’échantillon calciné et l’échantillon séché constitue « la perte au feu ». Lors du remplissage d’une empreinte de moule, les différents éléments réfractaires du sable vont être en contact avec du métal à haute température. Il est donc indispensable de ne pas avoir de variation de masse (et donc de variation de volume) trop importante entrainant des défauts de tolérance dimensionnelle sur les pièces. Cet essai permet aussi de mesurer l’importance des éléments organiques exogènes contenus dans le sable et qui pourraient nuire à sa qualité.
Ces éléments combustibles – détruits à 900°C – sont présents à température ambiante lors de la confection des moules ou noyaux. Ils ont donc un impact sur la composition des moules, et notamment peuvent augmenter la teneur nécessaire en liant par augmentation de la surface spécifique. Une fois détruit, lors de la coulée, ces éléments peuvent générer des porosités au sein des pièces et constituent d’éventuelles sources de défauts.

Détermination de la teneur en eau

La teneur en eau d’un sable est déterminée par la perte de masse par étuvage à 105°C. L’eau d’un sable neuf provient essentiellement de matières humiques présentes dans le sable extrait de carrière. Même si cette quantité est souvent très faible, il est indispensable d’éviter toute présence d’eau dans les moules pour des questions évidentes de sécurité.

Caractérisation du pH

Pour déterminer son pH, le sable est laissé en contact avec de l’eau sous agitation magnétique. Une faible quantité de chlorure de potassium est introduite pour accroître le potentiel ionique de la solution. Le pH de la solution surnageante est alors mesuré  à l’aide d’un pH-mètre. De cette manière, on caractérise l’acidité ou l’alcalinité d’un sable.

Analyse chimique élémentaire

L’analyse chimique élémentaire révèle la composition chimique du sable et aide à comprendre l’influence des différents paramètres. La présence d’oxydes, aide à comprendre l’intérêt de réaliser les déterminations de perte au feu sous atmosphère inerte pour les sables de chromite par exemple.

Observations microscopiques – Imagerie MEB

Sable avec présence de fines- observation au MEB - CTIF

Sable avec présence de fines- observation au MEB – CTIF

Les outils d’imagerie à fort grossissement (microscope, MEB) permettent de visualiser les grains de sable (taille, forme, régularité, …) et complètent les précédents essais qu’ils permettent de mettre en perspective et d’interpréter. Ces outils s’avèrent donc forts utiles dans la caractérisation des sables. Les observations à l’aide du Microscope à Balayage Electronique (MEB) éclairent utilement sur les résultats des caractéristiques physiques. Par exemple, pour deux sables référencés A et B, nous remarquons la présence de fines dans le sable B et non dans le sable A. Si l’on observe l’évolution des caractéristiques mécaniques, on note une légère différence qui peut être imputable à cette présence de fines. Ces observations viennent surtout confirmer les résultats de granulométries.

Créer des liens entre les différents paramètres

Il est absolument indispensable de mettre en rapport ces différents paramètres afin de pouvoir caractériser correctement le sable. Ainsi, la demande acide et le pH peuvent être mis en relation. De même, nous avons vu que répartition granulométrique et essai de flexion sont corrélés. En effet, plus un sable présente une quantité élevée de fines, plus la teneur en liant nécessaire est élevée avec un impact sur ses caractéristiques mécaniques.

Régénération et impact sur la qualité des sables

Moules en sable à prise chimique - en cours de fabrication

Moules en sable à prise chimique – en cours de fabrication

Pour répondre à des problématiques environnementales (mise en décharge et traitements) et à des contraintes économiques (coût d’achat, revalorisation,…), une grande quantité de sable est recyclée et réintroduite dans les circuits de moulage. Toutes les caractéristiques du sable vont être affectées (par la coulée du métal et la régénération). La granulométrie va être ainsi modifiée par la production de fines lors d’une régénération mécanique (par abrasion des grains). De plus, suite à l’élévation de la température lors de la coulée, le sable subit des transformations que le traitement de régénération ne permet pas de récupérer complètement. Il devient alors nécessaire de mener des essais de caractérisations des sables sur des échantillons (avant et après régénération) afin de tracer la qualité du sable et de comprendre finement l’évolution de ses caractéristiques (granulométrie, durée de vie, …).

Caractériser le sable, un enjeu majeur en fonderie

La caractérisation des sables de fonderie revêt une importante toute particulière et l’augmentation de la part de sable recyclé dans les circuits de moulage et de noyautage pousse  à lui prêter une attention toute particulière. Le sable constituant souvent l’élément de base de la fonderie, il requiert encore des études spécifiques pour mieux comprendre ses transformations et mieux maîtriser le procédé industriel.

22 commentaires

  1. Nassim Oulamine dit :

    Super intéressant !
    Sans oublier les contrôle pré-mise en oeuvre et moyen de dosage. Anticipons !

    • Le CTIF dit :

      Bonjour Nassim et merci de votre intérêt constant pour MetalBlog. Nous avons en effet essayé d’être le plus complet possible sur les moyens de caractérisation des sables à prise chimique car le sable impacte directement la qualité des pièces.

  2. Aurélien CHAUVEAU dit :

    Le nerf de la guerre pour des bruts de qualité !

    • Le CTIF dit :

      Bonjour Aurélien. Oui, comme vous dîtes, la maîtrise de la qualité du sable est très importante pour faire des bruts de fonderie de qualité.

  3. Marc Karakoc dit :

    Merci.

  4. Gaudin dit :

    Bonjour, nous avons des gros problèmes de qualité sur des pièces de fonderie. (Moulage industriel)
    Nous travaillons avec un sable de contact et de remplissage, la granulométrie de ces sables varient de 72 à 78. Pour moi (42 ans dans la société) les bases de moulage sont un peu oubliées . La perméabilité du sable et un serrage excessif des moules fait que le sable ne transpire plus, les gaz ne s’échappe plus occasionnant des malvenus et de l’abreuvage , malgré de multiple évents percer et des coulées maîtrisée « températures » Nous avons un taux de rebuts important. Merci de m’apporté une réponse avant que je parte en retraite.

    • Le CTIF dit :

      Bonjour Pierrick. Si la « mal venue » et « l’abreuvage » sont relativement simples à identifier, ce n’est pas le cas concernant les causes d’apparition de ces types de défauts. Les paramètres pouvant générer ces défauts sont nombreux et il est souvent difficile d’identifier le(s) paramètres les plus influents. Vous trouverez ci-dessous une liste (non exhaustive) des paramètres fréquemment en cause concernant l’apparition de rebuts « abreuvage » ou « mal venue » :
      Abreuvage : réfractarité du sable, teneur en argile active, teneur en eau, teneur en additif carboné, quantité d’éléments < 106 µm, intensité de serrage des empreintes, homogénéité de serrage des empreintes, vitesse de coulée, température de coulée, hauteur de coulée, pression statique et dynamique, perméabilité du moule, tracé pièce, système d’évacuation des gaz lors de la coulée, composition chimique du métal (%S, %P, présence d’oxydes, …), répartition granulométrique du sable de moulage,…
      Mal venue : pression métallo-statique, serrage du moule, température de coulée, vitesse de coulée, tracé pièce et système de remplissage, coulabilité du métal, composition du métal, système d’évents, température des parois du moule, irrégularité du remplissage, impact négatif des jeux fonctionnels par rapport à l’évacuation des gaz, …
      Sans appliquer une démarche de résolution de problème sur l’ensemble des processus de fabrication des pièces incriminées, il est très difficile de définir un plan d’actions efficaces pour réduire les rebuts. Une formation du personnel ou un audit sur site par des experts extérieurs peut se révéler utile.

      • Radia dit :

        Pouvez vous s’il vous plait me donner plus d’informations sur le phénomène d’abreuvage..j’ai commencé un stage de fin d’étude dans fonderie dont le sujet est d’étudier ce phénomène

        • Le CTIF dit :

          Bonjour Radia, je vous ai envoyé par courriel un article de CTIF en PDF sur ce sujet fort intéressant. Bon stage de fin d’étude en fonderie.

  5. guillien dit :

    bonjour réponse tardive mais je suis stagiaire en fonderie et on vient de lancer une étude, celle-ci porte en fait sur l’effet de l’oxyde de fer sur les sables a prises chimiques l’essai se fera alors pour la boxyte, la chromite et la silice. Je me demandeais par ailleurs si vous aviez de bonnes informations sur une etude de ce type. Merci d’avance pouyr votre réponse

  6. ikbel dit :

    Bj, plus d’info ou biblio svp à propos l’impact de la taille des grains de sable, merci

  7. Pipo inzaghi dit :

    Salut ,on a un problème lors de decochage du moule..le sable se décoche avant d’arriver a la grille de decochage ..je veu savoir quel sont les facteurs influençant sur ce phénomène

    • Le CTIF dit :

      Bonjour et merci de votre question. Si votre problématique concerne du sable à vert, cela peut-être dû à un manque d’argile active dans le sable, ou à une bentonite ayant une température de destruction trop faible (passer en calcique activée ou en sodique).

  8. FG dit :

    Bonjour, je n’ai pas bien compris comment fonctionne une demande alcaline/acide. Je ne comprends pas l’intérêt de faire cet essai.
    Je suis bien conscient que le ph a un effet sur la prise. Mais je ne comprends pas comment cela est censé réagir.
    Prenons exemple d’une résine furanique, avec un ph d’environ 7,5/8,5, un catalyseur d’un ph d’environ 1,5/2 et un sable d’un ph environ 3 (valeurs de mon entreprise).
    Je ne comprends pas comment la prise peut se faire sachant qu’il n’y a pas de réaction acido-basique.
    Est-ce qu’une résine ou un sable avec un ph élevé va réagir aussi ? Est-ce que la réaction se fera de la même manière avec une résine phénolique ?

    Désolé pour toutes ces questions, et merci d’avance.

  9. Cedric dit :

    Bonjour,

    Nous avons des soucis récurrents sur la qualité de nos pièces – nous sommes en pepset – et utilisons de l’olivine.
    Le taux de fine est très élevé en sortie de malaxeur alors qu’en sortie de fluidiseur les taux sont « bon ».
    Le transport de sable semble fortement fragiliser l’olivine régénéré. y’ a t il un adjuvant qui pourrait être utilisé afin de maintenir des caractéristiques mécaniques adéquate dans le temps.
    Nous sommes en régénération mécanique uniquement.

    • Le CTIF dit :

      Bonjour Cédric. Bien vu votre question que nous avons posée à l’Expert de CTIF. Il ressort qu’une augmentation du taux de fines au malaxeur peut être dû à un mauvais réglage du malaxeur (forte érosion des grains durant le malaxage). Effectivement, certains moyens de transport du sable génèrent des effets d’attrition importants, ce qui augmente le taux de fines dans le sable (cela peut aller jusqu’à +5% !).
      A ce stade, l’utilisation d’un adjuvant supplémentaire n’est pas adéquat : dans ce cas précis, il est conseillé de vérifier avant :
      ▪ Si le traitement de régénération mécanique ne génère pas un effet d’attrition et/ou des chocs trop violents pour l’olivine (casse ou fissuration des grains de sable avant le transport jusqu’au malaxeur),
      ▪ Si les moyens de transport sont bien réglés et ne génèrent pas également un effet d’attrition et/ou des chocs trop violents (notamment la pression et l’état des stations de définage intermédiaire),
      ▪ Si la conception des tuyauteries liées au transport du sable est optimale (longueur des tuyauteries, nombreux changements de direction, conception des coudes, …),
      ▪ Si les installations de dépoussiérage fonctionnent bien et sont en bon état,
      ▪ Si la conception des trémies d’alimentation du malaxeur (en sable régénéré et neuf) est optimale,

      Si tout est OK, il est conseillé alors d’intégrer un système de définage du sable avant le malaxeur, plutôt que d’incorporer un adjuvant supplémentaire à la composition du sable préparé (augmentation des coûts de matière première, gestion supplémentaire de la teneur en adjuvant, la maîtrise globale du processus sera plus compliquée).
      La vérification de la qualité du sable à différents stades du processus peut être effectuée par des analyses au CTIF.

  10. Merci pour tous ces renseignements intéressants!
    Quel pourcentage de pertes au feu maximum peut-on tolérer dans un sable à prise chimique recyclé mécaniquement? 1%? 2%? 4%? 8%?
    Merci beaucoup!

  11. René Martin dit :

    Très intéressant comme article.
    Nous sommes en train de procédé à l’évaluation de nos procédés de moulage aux sables. Cet article m’éclaire beaucoup en terme de contrôle de procédé à instaurer.
    Il y a t’il un moyen plus commode pour l’évaluation du WorkTime des sable à prise chimique? Cette valeur me permet de faire un ajustement sur la prise des moules mais, je trouve cette mesure un peu aléatoire. Nous avons actuellement un enjeux de bris de moules.

    Avez-vous des article qui discutes de la perméabilité et du tassage?

    Merci beaucoup!

  12. Wajdi dit :

    Bonjour,

    Pourquoi on trouve des résultats de perméabilité faible 80 % par contre le poid de l’eprouvette est élevé 146 g ?
    Et quel est le bon AFS de sable neuf ?

  13. Belier dit :

    Bonsoir Une question sur le sable a vert. Une bentonite activé au Sodium est elle compatible avec eau Ph=7.2 – 7.4?

    Si non que faut il faire?

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